Comme tous les pays du bassin méditerranéen, la cuisine tunisienne recourt largement à l’huile d’olive, aux épices et aux tomates, ainsi qu’aux produits de la pêche (grands assortiments de poissons) et de ré levage (mouton).
Elle puise son inspiration de diverses sources notamment berbère, arabe, turque ou encore italienne.
Elle puise son inspiration de diverses sources notamment berbère, arabe, turque ou encore italienne.
Brik a l´oeuf
Un oeuf par brick, oignons poivre noir, persil, sel, citron, de huile de friture.
Mettez dans une assiette une feuille de brick, posez au centre un oeuf avec un peu d’oignon finement haché, du sel, du poivre, du persil et du thon. Pliez la feuille en deux.
Glissez délicatement le brick dans la friture chaude, sans trop laisser prendre de couleur.
Servez avec des quartiers de citron.
Au dessert, on préfère les fruits aux crèmes et glaces. Aussi les pâtisseries tunisiennes à base d’amandes, de noisettes, et de dattes, sont traditionnelles et confectionnées pour les jours de fête mais on les déguste à tout moment.
Pour les boissons, le thé à la menthe, qui est traditionnellement servi dans les « cafés maures ».
Les vins de Tunisie couvrent une gamme étendue de rouges, de blancs, de rosés et de muscats.
Les dattes, trésors de la palmeraie
Fruits aux multiples vertus, les dattes règnent dans le désert tunisien comme d’innombrables trésors. Elles sont autant de dons précieux de la nature que les oasiens continuent de vénérer et de récolter en suivant scrupuleusement d’immuables rites.Il balance majestueusement son feuillage au gré des caprices du vent.
Le désert est sa terre d’élection. Tel un miracle de la nature, un pied de nez au soleil, à la chaleur et à l’air sec, il respire et donne la vie. Car sous ce sol sec, à première vue stérile, se cachent de riches nappes d’eau souterraines où sa soif est étanchée.
Planté au milieu des oasis, le palmier-dattier se déploie, triomphant, sur les terres arides de l’erg tunisien.
Symbole de majesté et de prospérité, cet arbre mythique assure au Sud tunisien des ressources multiples.
Les lourds régimes de dattes, accrochés à ses panaches géants, sont toute la richesse des oasis. Chaque année, les cinq millions de palmiers-dattiers florissant dans les régions de Gafsa, Gabès, Tozeur, Nefta et Kebili (soit 32 000 hectares de terrain) produisent plus de 115 000 tonnes de dattes. Une profusion qui s’explique : un palmier peut en effet donner jusqu’à 100 kilos de fruits par récolte.
Les palmiers femelles sont majoritaires pour une raison simple : un seul mâle suffit à en féconder une centaine.
Toutefois, à la pollinisation, technique naturelle, se sont substituées des méthodes artificielles. Cette tâche revient au khammès, ouvrier agricole payé du cinquième de la récolte (d’où son nom, khamsa signifiant « cinq » en arabe).
Muni d’une brindille mâle chargée de pollen, il se hisse au sommet des arbres femelles. La nature fait le reste.
Le désert est sa terre d’élection. Tel un miracle de la nature, un pied de nez au soleil, à la chaleur et à l’air sec, il respire et donne la vie. Car sous ce sol sec, à première vue stérile, se cachent de riches nappes d’eau souterraines où sa soif est étanchée.
Planté au milieu des oasis, le palmier-dattier se déploie, triomphant, sur les terres arides de l’erg tunisien.
Symbole de majesté et de prospérité, cet arbre mythique assure au Sud tunisien des ressources multiples.
Les lourds régimes de dattes, accrochés à ses panaches géants, sont toute la richesse des oasis. Chaque année, les cinq millions de palmiers-dattiers florissant dans les régions de Gafsa, Gabès, Tozeur, Nefta et Kebili (soit 32 000 hectares de terrain) produisent plus de 115 000 tonnes de dattes. Une profusion qui s’explique : un palmier peut en effet donner jusqu’à 100 kilos de fruits par récolte.
Les palmiers femelles sont majoritaires pour une raison simple : un seul mâle suffit à en féconder une centaine.
Toutefois, à la pollinisation, technique naturelle, se sont substituées des méthodes artificielles. Cette tâche revient au khammès, ouvrier agricole payé du cinquième de la récolte (d’où son nom, khamsa signifiant « cinq » en arabe).
Muni d’une brindille mâle chargée de pollen, il se hisse au sommet des arbres femelles. La nature fait le reste.