L’Histoire : Le témoignage de la parenté des cultures méditerranéennes
Les Bach Hamba, dignitaires militaires d’origine turque, ont donné leur nom à la demeure qui a été la leur jusqu’en 1923. A cette date, les sœurs franciscaines l’acquièrent pour le compte d’une fondation qui a pour objectif ‘de secourir et d’éduquer la population indigène’.
L’institution caritative n’a plus cours et la demeure se trouve une vocation culturelle. Depuis l’an 2000, la Fondation Orestiadi, dont le siège est en Sicile, installe au Dar Bach Hamba le Centre Culturel pour la Méditerranée. Le musée offre un bel échantillonnage de céramiques, poteries, tissages, costumes et atteste de l’étonnante parenté des cultures méditerranéennes. Des expositions, des concerts de musique, des conférences attirent les amateurs de toutes parts, sans laisser pour compte les habitants du quartier.
La driba (premier vestibule) est habituellement suivie d’une ou plusieurs skifas disposées en chicane, pour isoler la cour de la rue. Ici, la driba donne accès à un espace à ciel ouvert, le rwa, pour desservir les écuries de l’intérieur et permettre aux propriétaires d’y pénétrer en voiture ou à cheval. Aujourd’hui, la verdure rehausse la beauté de la pierre.
Le makhzen, après avoir abrité les écuries et/ou les magasins à provisions de la famille Bach Hamba, a reçu des fonctions plus nobles et propices à la méditation et à la réflexion. Après avoir été aménagé en chapelle par les sœurs, il est aujourd’hui une salle polyvalente pour les activités culturelles de la Fondation Orestiadi.
L’institution caritative n’a plus cours et la demeure se trouve une vocation culturelle. Depuis l’an 2000, la Fondation Orestiadi, dont le siège est en Sicile, installe au Dar Bach Hamba le Centre Culturel pour la Méditerranée. Le musée offre un bel échantillonnage de céramiques, poteries, tissages, costumes et atteste de l’étonnante parenté des cultures méditerranéennes. Des expositions, des concerts de musique, des conférences attirent les amateurs de toutes parts, sans laisser pour compte les habitants du quartier.
La driba (premier vestibule) est habituellement suivie d’une ou plusieurs skifas disposées en chicane, pour isoler la cour de la rue. Ici, la driba donne accès à un espace à ciel ouvert, le rwa, pour desservir les écuries de l’intérieur et permettre aux propriétaires d’y pénétrer en voiture ou à cheval. Aujourd’hui, la verdure rehausse la beauté de la pierre.
Le makhzen, après avoir abrité les écuries et/ou les magasins à provisions de la famille Bach Hamba, a reçu des fonctions plus nobles et propices à la méditation et à la réflexion. Après avoir été aménagé en chapelle par les sœurs, il est aujourd’hui une salle polyvalente pour les activités culturelles de la Fondation Orestiadi.