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Désert et Sahara Tunisie

Vous rêvez de soleil, de ciel bleu, de chaleur le sahara de la tunisie est un espace de liberté dans une nature d'exception, le luxe du silence.

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mercredi 26 décembre 2012

Gastronomie tunisien

Comme tous les pays du bassin méditerranéen, la cuisine tunisienne recourt largement à l’huile d’olive, aux épices et aux tomates, ainsi qu’aux produits de la pêche (grands assortiments de poissons) et de ré levage (mouton).
Elle puise son inspiration de diverses sources notamment berbère, arabe, turque ou encore italienne.

Brik a l´oeuf

Brik a l´oeuf

Un oeuf par brick, oignons poivre noir, persil, sel, citron, de huile de friture.
Mettez dans une assiette une feuille de brick, posez au centre un oeuf avec un peu d’oignon finement haché, du sel, du poivre, du persil et du thon. Pliez la feuille en deux.
Glissez délicatement le brick dans la friture chaude, sans trop laisser prendre de couleur.
Servez avec des quartiers de citron.

Au dessert, on préfère les fruits aux crèmes et glaces. Aussi les pâtisseries tunisiennes à base d’amandes, de noisettes, et de dattes, sont traditionnelles et confectionnées pour les jours de fête mais on les déguste à tout moment.

Pour les boissons, le thé à la menthe, qui est traditionnellement servi dans les « cafés maures ».

Les vins de Tunisie couvrent une gamme étendue de rouges, de blancs, de rosés et de muscats.

Les dattes, trésors de la palmeraie

Les dattes trésors de la palmeraie tunisie

Fruits aux multiples vertus, les dattes règnent dans le désert tunisien comme d’innombrables trésors. Elles sont autant de dons précieux de la nature que les oasiens continuent de vénérer et de récolter en suivant scrupuleusement d’immuables rites.Il balance majestueusement son feuillage au gré des caprices du vent.

Le désert est sa terre d’élection. Tel un miracle de la nature, un pied de nez au soleil, à la chaleur et à l’air sec, il respire et donne la vie. Car sous ce sol sec, à première vue stérile, se cachent de riches nappes d’eau souterraines où sa soif est étanchée.

Planté au milieu des oasis, le palmier-dattier se déploie, triomphant, sur les terres arides de l’erg tunisien.

Symbole de majesté et de prospérité, cet arbre mythique assure au Sud tunisien des ressources multiples.

Les lourds régimes de dattes, accrochés à ses panaches géants, sont toute la richesse des oasis. Chaque année, les cinq millions de palmiers-dattiers florissant dans les régions de Gafsa, Gabès, Tozeur, Nefta et Kebili (soit 32 000 hectares de terrain) produisent plus de 115 000 tonnes de dattes. Une profusion qui s’explique : un palmier peut en effet donner jusqu’à 100 kilos de fruits par récolte.

Les palmiers femelles sont majoritaires pour une raison simple : un seul mâle suffit à en féconder une centaine.

Toutefois, à la pollinisation, technique naturelle, se sont substituées des méthodes artificielles. Cette tâche revient au khammès, ouvrier agricole payé du cinquième de la récolte (d’où son nom, khamsa signifiant « cinq » en arabe).

Muni d’une brindille mâle chargée de pollen, il se hisse au sommet des arbres femelles. La nature fait le reste.

mardi 25 décembre 2012

Thuburbo Majus site archéologique tunisien

Thuburbo Majus site archéologique tunisien

Thuburbo Maju

Au sud ouest de Tunis la ville antique «respublica Félix » (La République heureuse), Thuburbo Majus aujourd´hui, ancienne cité punique, devenue pleinement romaine quand Hadrien la porta au rang de municipe.

D´impressionnantes ruines témoignent de nos jours l’essor urbanistique et la richesse passée de la cité romaine, comme les somptueuses maisons dotées parfois de salles de bains chauffées et parées de mosaïques.

Et tout autour du forum: le temple de la paix et le petit temple de Mercure.

Plus au sud on gagne la place du marché et la maison du somptueuses maisons dotées parfois de salles de bains chauffées et parées de mosaïques.

Et tout autour du forum: le temple de la paix et le petit temple de Mercure.

Plus au sud, on gagne la place du marché et la maison du Labyrinthe puis le portique des Petroni.

On visitera également plusieurs maisons de bain (thermes d´été, thermes d´hiver), une palestre, un temple Bâalit ainsi qu’un autre temple dédié à Esculape, dieu de la médecine.

A noter aussi la présence d´une église chrétienne.

lundi 24 décembre 2012

Makthar :Site archéologique Tunisien

Makthar 

Makthar :Site archéologique Tunisien

Makthar (dérivé du latin Mactaris) est une ville romaine qui s’est développée aux 1Ième et 11Ième siècles après JC. Les ruines de Makthar comprennent dès l’entrée, les vestiges d ‘un amphithéôtre.

Ensuite on gagne le forum qui est dominé, au sud par l’Arc de Triomphe de Trajan (1Ième siècle av. JC). Après la basilique qui recèle des tombes byzantines, on dévie vers la droite pour aller voir le temple de Bacchus.

Un peu plus loin, on arrive aux thermes du Capitole et à la Scola des jeunes gens, avec gymnase et piscine.

Les ruines de Makthar comprennent dès l’entrée, les vestiges d ‘un amphithéâtre.

On visitera également les grands thermes et le bureau de perception des impôts avec ses niches disposées en arc de cercle.

vendredi 21 décembre 2012

Sites archéologiques Oudhna Tunisie

Oudhna 

Oudna ou Oudhna (أوذنة) est un site archéologique tunisien situé à trente kilomètres au sud de Tunis sur la route menant à Zaghouan. Fouillé partiellement au XIXe siècle, les fouilles ont repris sur le site en 1993 pour aboutir à une ouverture au public en 1999.

Sites archéologiques Oudhna Tunisie
Ancienne étape sur la voie romaine, reliant Thuburbo Majus à Carthage, Uthina occupe une plaine fertile, piémont des Jebels BouKornine et Ressas.

Cité d´origine berbère, et influencée par Carthage, elle fut choisie par l’empereur Octave Auguste pour y fonder une colonie qu’il peupla de vétérans.

Adrien (117-138) la renforça et lui accorda des privilèges.

La cité dont la richesse était principalement d´origine I foncière, atteignit son apogée sous le règne des Sévères et fut active jusqu’à la fin de l’antiquité.
Sites archéologiques Oudhna

mercredi 19 décembre 2012

Tourisme saharien Entre désert et palmeraie

Aux portes du désert, la Tunisie méridionale s’enrobe de terres ocre et de sables dorés d’où jaillissent des villages fortifiés accrochés à flanc de montagne, magnifiques dans leur splendeur révolue.
Tourisme saharien Entre désert et palmeraie

Au-delà de l’immensité désolée du chott el Jerid, le Sahara devient roi, laissant de temps à autre jaillir la vie dans quelques oasis particulièrement accueillantes.
Un océan de dunes rose orangé court à perte de vue vers l’horizon où s’enfonce lentement un énorme soleil rougeoyant. Là-bas, dans l’ondulation des vagues sableuses aux ombres grandissantes, presque en ombre chinoise, la silhouette d’une caravane de dromadaires trahit la seule présence de vie dans cet univers minéral. Immobile, comme figé dans l’attente du crépuscule, le désert semble lentement happer le ciel. Dans la douceur de fin d’après-midi, le parfum des fleurs de l’oasis de Ksar Ghilane ose enfin s’envoler dans l’air soudain plus léger, sans crainte d’être étouffé en vol par la chaleur accablante du jour. Respectueux de l’instant, les hommes, silencieux et contemplatifs, semblent rendre hommage à ce soleil qui disparaît. Presque émus devant la pureté du spectacle qui s’offre à eux.

Vivre l’instant sacré du désert à Ksar Ghilane

Facilement repérable par l’agitation qui règne en pleine journée autour de sa vasque émeraude, la source de Ksar Ghilane ne laisse entendre qu’un faible murmure.
Les gros scarabées du désert entament leur ultime course sur un sable si fin qu’il conserve l’empreinte de leurs pattes légères. Les derniers dromadaires rejoignent le couvert de la palmeraie où quelques cigognes ont choisi de faire étape pour la nuit. En quelques instants, les étoiles ont pris possession du ciel. Dans le silence de la nuit, le Sahara s’endort, seulement perturbé par les feux des hommes et leurs chants de joie, s’élevant vers la voie lactée. Ainsi en va-t-il de la contemplation du désert qui ne se limite pas à observer la magnificence du sable à l’infini. La magie de la découverte de cet univers unique tient autant dans cette contemplation inlassable que dans le sentiment de plénitude qu’elle confère. Et il n’est rien de mieux pour s’y abandonner qu’un détour par Ksar Ghilane sur la route qui conduit vers l’extrême-sud tunisien. Y accéder demande d’ailleurs quelque abnégation tant la piste est longue et chaotique, comme si cet écrin de vie surgissant de nulle part tentait de se préserver par tous les moyens des visites importunes.
L’oasis surgit au bout de la route, bordée par un village blanc aux lignes géométriques et à l’ordonnance toute militaire. Il est dominé par un obélisque blanchi commémorant la victoire du général Leclerc sur les armées allemandes commandées par Rommel. Cette ancienne caserne française fut offerte aux nomades qui désiraient se sédentariser autour de la palmeraie. Cette dernière n’a d’ailleurs rien de naturel. Elle fut plantée et développée au début des années 1950, suite à un projet du gouvernement tunisien et après que des ingénieurs français qui effectuaient des prospections pétrolifères eurent fait jaillir de l’eau chaude à la place de l’or noir convoité.
Pourtant, bien avant l’arrivée des Français en Tunisie au début du XIXe siècle, un riche nomade du nom de Ghilane s’était déjà installé ici, ayant eu connaissance d’une source à la limite du Grand Erg tunisien. Il avait bâti un village fortifié au sommet d’une colline dominant les dunes pour mettre ses biens à l’abri des fréquentes razzias de l’époque. Ainsi était né Ksar Ghilane (le fort Ghilane), tombé en ruine après la mort du patriarche. Les Français ont restauré ce fort pour le transformer en poste militaire avancé ; ils ont édifié ensuite une nouvelle caserne.

Une étape dédiée à la contemplation

Aujourd’hui, Ksar Ghilane constitue une étape incontournable dans le Sud tunisien pour tous ceux qui souhaitent se confronter au désert.
Certains visiteurs n’y consacrent que le temps d’une étape, trop peu pour réellement prendre conscience de la beauté de l’endroit et se livrer à sa contemplation si ce n’est l’espace d’un coucher de soleil et d’une randonnée de dromadaire sur les dunes. D’autres, succombant au charme des sables rouges paraissent ne plus vouloir partir.
Parmi ces derniers, les motards tout-terrain venus d’Europe ne sont hélas pas les moins nombreux. S’adonnant à leur passion, ils en oublient parfois certaines règles de bienséance vis-à-vis des autres visiteurs du lieu en faisant rugir leurs bolides à tout moment de la journée et en imprimant leurs traces iconoclastes sur la moindre dune encore restée vierge.

Découvrir en solitaire la paix de l’oasis

Quoi qu’il en soit, on ne repart jamais totalement le même de Ksar Ghilane.
Il ne faut d’ailleurs pas hésiter à délaisser les rivages dorés du désert pour pénétrer à l’intérieur de la palmeraie elle-même.
En s’éloignant de la source qui constitue, malgré la tiédeur de son eau, une bénédiction après la piste et la chaleur du jour, on passe les campements de tentes qui attendent les voyageurs.
Le chemin sableux s’enfonce entre deux rangées de tamaris débordant de grappes roses, accompagné de chaque côté par les canaux d’irrigation qui courent depuis la source. Un véritable silence enveloppe le promeneur, uniquement troublé par le murmure de l’eau et le chant des nombreux oiseaux, jaunes et rouges, qui virevoltent d’arbre en arbre. Le braiment d’un âne déchire de temps à autre cette tranquillité apparente d’une palmeraie où, à chaque croisement, on découvre quelques villageois occupés à entretenir leurs parcelles, à creuser de nouveaux canaux d’irrigation, à mener leurs dromadaires vers des zones ombragées où ils pourront paître. Un berger passe avec son troupeau de chèvres folles.
Une carriole chargée de brassées d’herbe tendre, tirée par un âne et conduite par deux enfants rieurs, fait mine de les effrayer.
Une cigogne joue à cache-cache dans l’alignement impeccable des palmiers, s’arrêtant soudain devant un étalage de dattes mûrissant au soleil. La palmeraie livre une à une les images de son univers préservé, presque secret.
C’est d’ailleurs ce qui rassemble les palmeraies entre elles, écrins de nature en dehors du temps que les hommes semblent pour une fois respecter. C’est à Tozeur, la plus grande ville du Sud tunisien, que l’on fait généralement et pour la première fois connaissance avec l’univers des sables et des oasis aux palmeraies incontournables.
Tozeur, capitale du Sud tunisien
Aux portes du désert, Tozeur est le véritable point de départ d’un autre voyage en Tunisie.
Son immense palmeraie, l’une des plus grandes du pays et certainement l’une des plus belles, est depuis des lustres une bénédiction pour cette région du Bled el Jerid (le Pays des dattes).
Elle constitue un havre de paix et de fraîcheur que l’on parcourt en calèche, en vélo ou tout simplement à pied pour mieux profiter encore de ce véritable jardin d’Eden.
Plus loin, de l’autre côté de la luxuriance végétale où coule la vie en même temps que se répand l’eau bénéfique, l’immensité désolée et desséchée du chott el Jerid s’étend dans un violent contraste.

Chasser les mirages du chott el Jerid

Brûlé de soleil et uniquement peuplé de mirages, cet univers de l’éphémère aquatique ne laisse apparaître sur plus de 100 kilomètres que ses étendues de sel aveuglant et d’argile craquelée. Dans les montagnes ocre et arides qui dominent cette plaine sans vie, les hommes ont su mettre à profit les moindres sources pour créer des points de ralliement. Ces oasis de montagne, comme celle de Chebika, qui s’enfoncent dans des gorges desséchées par le vent du désert, permettent de découvrir le diamant d’une source cristalline qui jaillit de la roche, transformant son ruissellement miraculeux en une explosion de verdure délicieuse. Certaines ont su, dans des temps anciens, se faire rivières, aidées en cela par les péripéties géologiques et climatiques de la région.
Elles ont, au fil des âges, creusé d’impressionnants et tortueux canyons comme dans les gorges de Selja, à Midès ou à Tamerza, où l’eau continue de s’écouler en cascades rafraîchissantes, et qui vrombissent chaque année du fracas de l’eau en furie à la saison des pluies.
Au bout de la route rectiligne qui coupe en deux, du nord au sud, le chott el Jerid, la petite ville de Douz forme la frontière avec le Sahara tunisien contre lequel elle tente de lutter pour ne pas être engloutie par ses dunes mouvantes. Tout comme le fort de Sabria, une ancienne place militaire française perdue au milieu des sables et aujourd’hui transformée en gîte. A Saafrane, des centaines de dromadaires attendent sur le bord de la route les touristes venus goûter pour quelques heures aux joies d’une méharée au coucher du soleil. Certains d’entre-eux tentent même l’aventure d’une nuit dans le désert, à la belle étoile.

La route des "ksour" à l’assaut de la montagne

En laissant le désert à sa droite, on reprend la direction de la côte en grimpant à l’assaut de hauts plateaux désertiques creusés de vallées encaissées sur les flancs desquels s’accrochent, presque désespérés, quelques villages berbères comme Toujane où des enfants aux yeux verts et or vous proposent des bouquets de menthe sauvage et des cristaux de roche étincelante dans leur gangue de roche ocre. Au nord, les vallées se font plus douces et la terre rouge se creuse d’habitations troglodytes autour de Matmata et son décor étrange qui mêle maisons traditionnelles, chapelles à marabouts et puits ouvragés d’où des corridors ombragés conduisent à un réseau de chambres et de salles creusées en sous-sol. Plus au sud, les villages comme Ksar el Hallouf sont de plus en plus souvent dominés par des "ksour", enceintes fortifiées où les habitations à l’architecture berbère s’entassent les unes sur les autres à la manière des alvéoles d’une ruche, pouvant atteindre plusieurs étages que l’on rejoint par des escaliers étroits et pentus. La plupart de ces "ksour" tombent hélas en ruine, à l’image de celui qui couronne Chenini, magnifique cité berbère bâtie sur un imposant éperon rocheux dominant une vallée serpentiforme. La région de Tataouine est ainsi connue pour cette spécificité architecturale aux rondeurs couleur de sable et l’on découvre, le long de la fameuse route des "ksour", Ksar Ouled Soltane, Ksar el Ferch ou encore Ksar Haddada pour ne citer que les plus célèbres d’entre-eux. A Medenine, le ksar se trouve désormais entouré par la ville moderne qui a fait de ce centre historique un lieu d’artisanat authentique sur la route du modernisme qui file vers Zarzis et Djerba. En touchant la côte, où les grands hôtels balnéaires poussent çà et là comme autant de centres de villégiature anonymes, on se prend soudain à regretter la solitude de Ksar Ghilane et sa source autour de laquelle la vie semble tellement plus simple. Et plus belle.

Spécial Guerre des étoiles

Les inconditionnels de la grande saga intergalactique de George Lucas seront aux anges. Nombreux sont en effet dans le Sud tunisien les lieux où le réalisateur américain tourna et où des vestiges plus ou moins bien conservés attendent les visiteurs. Le décor principal figurant la planète Tatooine se trouve à quelques dizaines de kilomètres de piste de Tozeur, au milieu des sables.
A Matmata, l’une des cours intérieures de l’hôtel troglodyte Moula Idris a servi de maison au jeune Skywalker et les rondeurs architecturales de Ksar Haddada ont donné vie à Mos Espa dans l’Episode 1, La menace fantôme.
Enfin, n’oublions pas que c’est en hommage au Sud tunisien qui, semble-t-il, l’avait conquis, que George Lucas a donné le nom de Tatooine à l’une des planètes phares de la saga en dérivant ce nom de la ville de Tataouine.

Le Lézard Rouge

Cet ancien train en bois fabriqué en France, et qui servait autrefois au bey de Tunis, propose l’une des excursions classiques pour découvrir les montagnes au nord de Tozeur. Il serpente en effet parmi les gorges de l’oued Selja au départ de Metlaoui et permet d’apprécier des paysages ensoleillés de canyons sauvages, tout en dégustant un thé à la menthe dans l’un des nombreux compartiments superbement restaurés dans leur style originel 1900. Une agréable balade nostalgique qui renvoie au bon vieux temps des voyages empreints des fastes orientaux.

lundi 17 décembre 2012

Idée vacance en Tunisie

L´Octobre Musical de Carthage

L´Octobre Musical de Carthage, festival international de musique classique, se tiendra comme chaque année à l´Acropolium du 1er au 30 Octobre prochain. Crée en 1995, sur les lieux de l’ancienne cathédrale Saint Louis, l´Acropolium accueillera 22 concerts de musique instrumentale et de chant. Au total, plus de vingt pays seront représentés : Tunisie bien sûr mais également Italie, Pologne, Bulgarie, Indonésie, Canada et France. Parmi les artistes qui se produiront cette année : Cecilia Gazdia, une soprano italienne considérée comme l’une des meilleures interprètes des opéras de Rossini, le jeune pianiste tchèque Petr Jirikovki ou encore la Lauréate de l’Université des Beaux Arts et de la Musique de Tokyo, Hiroko Masaki.

Djerba Explor Parc, aventure et tradition entre mer et désert

Le nouveau parc à thèmes « Djerba Explore » situé au bord de la Méditerranée, sous le regard protecteur du phare de Taguermess, s’étend sur 12 hectares et offre au visiteur une multitude d’activités pour mieux comprendre l’histoire de la région. Première étape du parcours, l’Lalla Hadria Museum qui, de la Perse à la Tunisie en passant par Tunis ou Tombouctou, retrace, à travers plus de 3000 oeuvres d’arts, plus de 1000 ans d’art et d’histoire. Après le musée, place aux traditions et aux coutumes avec « Djerba Heritage », un circuit à travers le temps pour découvrir le patrimoine des métiers de la région : l’atelier du tisserand, l’huilerie souterraine, le four et Ale séchoir antique du potier, … Plus de 2000m2 pour apprendre en s’amusant. Et pour finir la journée en beauté, il ne faut pas manquer la promenade dans la serre tropicale. Au milieu des papyrus et des bananiers, 400 crocodiles âgés de 5 ans et mesurant jusqu´à 2,60 m se prélassent dans des bassins aménagés. Gare aux mollets !

La Médina, un tourisme original au cœur d’Hammamet

Situé au cœur de Yasmine Hammamet, à une demi-heure de Tunis et de Sousse, la Médina est un nouveau complexe touristique original. Hôtel, centre commercial, pôle de détente, de culture et de divertissement, La Médina inaugure un tourisme ambitieux qui attire petits et grands dans une région traditionnellement connue pour son tourisme balnéaire. Conçu comme une médina traditionnelle, le lieu est composé d’une ville médiévale qui s’étend sur une superficie de 10 ha et d’un parc d’attraction thématique, le Carthageland. Construit dans une architecture d’inspiration arabo-musulmane, le village est entouré de remparts traditionnels qui abritent un décor rappelant la vie des arabes nomades.
Au cœur de La Médina, un complexe résidentiel inspiré de l’antique modèle du Dar est proposé en formule « Time Share » aux visiteurs qui souhaitent rester quelques jours sur place. Un souk aux odeurs enivrantes fait découvrir les corporations des métiers traditionnels en Tunisie. Il abrite également des ateliers de formation qui offrent aux visiteurs la possibilité de s´initier aux métiers de l´artisanat. Véritable ville dans la ville, la Médina compte également 12 restaurants qui répondent à tous les goûts : cuisine italienne, française, juive casher, indochinoise et bien sûr tunisienne. Une dizaine de cafés sont également présents dans la Médina. Parmi eux, une reproduction du café des nattes de Sidi Bou Saïd, un café littéraire dans un décor inspiré de l´Egypte ancienne et un cyber café qui rappelle les laboratoires des savants arabes. Pour remonter le temps et se ressourcer, des espaces traditionnels reproduisent les rites et les traditions du Maghreb : hammam, hajjem ou encore café mauresque, le tout dans une ambiance chaleureuse et conviviale. Le personnel, ainsi que les visiteurs qui le souhaitent, sont vêtus d´habits d´époque (Un déguisement est à leur disposition dès l´accès à Médina).
Le parc d´attractions thématiques, le "Carthageland", s´étale sur quatre hectares et demi. Il est, à l´image des grands "parcs à thème" américains, un lieu de divertissement, de sensations fortes et d´instruction. Le thème sera inspiré de l´histoire de la Tunisie, et plus particulièrement de la période carthaginoise, d´où il tire son nom. Il reconstitue ainsi le périple de "Hannon", le général carthaginois, premier explorateur des côtes africaines dans une reproduction originale du célèbre "Safari Africa" de Disneyland en Floride. On retrouve également un "Dark Ride" reproduisant les courses des "Frères Barberousse" dans une adaptation des "Pirates des Caraïbes", une attraction majeure de Disneyland Californie et d´Eurodisney Paris, ainsi que bon nombre d´attractions fabuleuses pour le plaisir des grands et des petits.
Côté pratique, la ville dispose d’un parking de 800 places et des moyens de transport, calèches et trains, sont mis à la disposition des visiteurs et facilitent l’accès et la circulation dans la Médina.

Un désert haut en couleurs

Seule une toute petite partie du Sahara a choisi de venir s’installer en Tunisie… Mais quelle partie ! En quelques jours de marche, le sud tunisien offre la possibilité de découvrir des paysages saisissants de contrastes. Exemple avec cette randonnée qui débute au cœur du grand erg oriental pour se terminer dans les hauteurs des oasis de montagne. Dès l’arrivée à Tozeur, les 4x4 sont déjà dans les starting blocks direction Ain Chott. De là, c’est trois jours de marche dans la plus pure tradition nomade qui attendent les voyageurs. Longues méharées au rythme des chameaux, thé autour du feu, coucher de soleil inoubliables au rythme des chants berbères…
C’est tout un concentré de Sahara qui s’offre au randonneur. Après les dunes, les 4X4 mettent le cap sur Matmata et ses villages troglodytes avant de rejoindre le paysage minéral du Chott El Jerid à la découverte des oasis de Tamerza et Chebika. Qui a dit que le désert était monotone ?

Des adresses de charme pour un tourisme différent

Loin de ses grands complexes hôteliers, la Tunisie ouvre aujourd’hui les portes d’un nouveau mode d’hébergement jusque là peu développé dans le pays : les maisons d’hôtes et les hôtels de charme. Des maisons traditionnelles, toutes rénovées, qui ont su conserver ou retrouver leur caractère authentique et offrent au visiteur une Tunisie où charme et douceur de vivre rivalisent avec un sens de l’hospitalité et de l’accueil. Petit palais reconverti en un hôtel de quelques chambres, palace à l’architecture arabo-andalouse, hammam à l’ancienne… De Sidi Bou Said en passant par Hammamet, Djerba-Zarzis ou Tozeur, les exemples de ce nouveau type d’hébergement sont de plus en plus nombreux et devraient séduire un nombre croissant de visiteurs qui loin de la Tunisie balnéaire ont envie de découvrir une autre facette du riche patrimoine de ce pays.

En location dans les agences spécialisées.

Pour en savoir plus : www.salambo-holidays.com
Séjour en Maison d’hôte à Sidi Bou Said
Les maisons blanches, les volets bleus et, en haut d’une volet de marches, le mythique « Café des Nattes » et son désormais célèbre thé à la menthe avec des pignons... Aucun doute possible, le voyageur vient de faire escale à Sidi Bou Said. Une échappée turquoise entre deux bâtisses laisse deviner que la Méditerranée n’est pas loin. L’endroit est idéal pour faire une pause. Pour un week-end ou une semaine, ce petit village est le gage d’un dépaysement garanti et d’une rencontre avec une Tunisie authentique, amicale et douce. Rénovée en 2001, la résidence Dar Said est une ancienne maison de famille bourgeoise du 19ème siècle restaurée et transformée en hôtel de charme est située au cœur du village. Son architecture traditionnelle, ses petits patios fleuris et ses fontaines, ses chambres joliment décorées dans le style de l’époque, sa vue imprenable sur la mer en font un lieu d’hébergement original et intime.
Sur les traces du Petit Prince…
“J’ai toujours aimé le désert. », disait Saint-Exupéry dans Le Petit Prince. Une opinion largement partagée par tous les voyageurs qui ont eu une jour la chance de faire l’expérience du Sahara tunisien. L’aventure, en famille ou entre amis, commence à Djerba. Mais très vite, les futurs nomades tournent le dos à la mer pour rejoindre Douz et traverser la région montagneuse de Matmata. C’est là que débute la randonnée chamelière qui les emmènera au cœur des dunes.
Pour rythmer ce voyage hors du temps, quelques repères : le camp, ultime refuge pour les soirées fraîches, les nuits sous les étoiles, le chameau qui blatère au réveil… et la gentillesse simple et calme des vrais nomades. Entre steppes, grandes dunes et chotts asséchés, le désert tunisien offre toutes les sensations d’un grand désert, à quelques heures à peine de notre capitale.

La Tunisie Culturelle

De l’Epopée romaine à la saga byzantine jusqu’à l’époque plus récente des conquêtes islamiques, la Tunisie permet à elle seule d’explorer un chapitre important de l’histoire du Bassin méditerranéen. Conservés, protégés et parfaitement adaptés à la découverte touristique, ces sites historiques sont aujourd’hui l’occasion pour les voyageurs curieux d’un voyage dans le temps qui montre que, loin d’être une simple destination balnéaire, la Tunisie est avant tout un chaînon essentiel à la compréhension de l’histoire méditerranéenne et à la découverte de son patrimoine.
Première étape de ce périple, Tunis, le musée national du Bardo et la mosquée d’Ezitouna (de l’Olivier). Après une journée à Carthage, les voyageurs mettent le cap sur Korbous, l’antique station thermale d’Aquae Glidae Carpitane avant de rejoindre Kerkouane, seule ville phénicienne restée à peu près intacte en Tunisie. L’aqueduc de Zaghouan, le village andalous de Testour, Dougga ou Kairouan sont quelques-unes des multiples étapes qui constitue la suite de ce voyage. 13 jours pour découvrir une Tunisie qui, loin des plages et des palmiers, sait aussi attirer la curiosité et déclencher la passion.

vendredi 7 décembre 2012

Thalassothérapie en Tunisie

Forte d’une quarentaine de centres de thalassothérapie, la Tunisie s’impose comme la deuxième destination après la France pour s’offrir une cure iodée. Bénéficiant d’installations dernier cri et pourvue d’un personnel qualifié, elle permet de profiter des vertus de l’eau de mer à des tarifs très étudiés.

L’idée de se soigner par la mer ne date pas d’hier. C’est en 1904 que le biologiste René Quinton fonde scientifiquement les vertus thérapeutiques du milieu marin en établissant l’identité de sa composition avec celle du plasma sanguin. Il utilise alors sa découverte pour guérir les gastro-entérites qui font rage chez les enfants à l’époque. Pratiquée sous forme d’injections d’eau de mer, la cure donne des résultats plus que probants. Dans le même temps, le corps médical se rend compte que les bains chauds iodés aident les fractures à se résorber et améliorent de façon notoire les douleurs articulaires. D’abord prescrite aux malades victimes d’un accident, d’une maladie osseuse ou de rhumatismes virulents, la thérapie par la mer a vite gagné ses galons de cure préventive pour plusieurs sortes de déficiences. Ainsi, elle est particulièrement recommandée en cas de mal de dos, de problèmes veineux ou de tensions musculaires. Grâce aux vertus reconstituantes du milieu marin, elle rééquilibre aussi l’organisme en profondeur. Les centres l’ont bien compris et ils sont nombreux à proposer des soins à visée relaxante. Quant à la Tunisie, elle présente par son climat les conditions idéales pour se détendre en toute saison. Une cure de thalasso dans cet environnement privilégié permet donc de chasser durablement la fatigue tout en s’offrant le plaisir de s’évader à quelques heures d’avion de Paris.

Détente optimale

Thalassothérapie en Tunisie
 Quel que soit l’établissement choisi le long des côtes tunisiennes, le traitement se déroule peu ou prou de la même façon. Il commence par une consultation médicale, indispensable pour éviter les contre-indications. Car la thalasso ne convient pas à tout le monde. Elle n’est pas recommandée par exemple en cas d’insuffisance rénale, de maladie infectieuse ou de problème de thyroïde. Le médecin oriente aussi le curiste vers les soins qui lui vont le mieux. En effet, vu la quantité de douches, bains et massages proposés par les centres, il est important de savoir s’y retrouver. Sans tout essayer et sans non plus cumuler des thérapies à visée contradictoire. Que la cure soit anti-stress, anti-tabac ou anti-cellulite, elle se déroule généralement sur six jours, ce qui est le minimum pour en ressentir les bénéfices à long terme. Le programme comporte le plus souvent quatre soins quotidiens, ce qui laisse la matinée ou l’après-midi libre pour faire du sport, partir en excursion ou tout simplement se détendre en profitant des espaces de relaxation des centres.

Toute une palette de soins

Les traitements prodigués se répartissent en soins individuels et soins collectifs. Ces derniers peuvent comprendre des séances d’aquagym ou des massages au jet dans des parcours marins spécialement étudiés pour soulager les contractures musculaires. Côté soins individuels, la gamme est particulièrement vaste. Les grands classiques restent les bains bouillonnants et les douches à affusion où le corps allongé reçoit une fine pluie d’eau de mer qui l’aide à recharger ses batteries. Egalement très pratiqué, l’hydromassage s’effectue dans une baignoire soumise à un jet dirigé manuellement qui traite les zones de tension, intestin noué ou vertèbres lombaires bloquées. Les applications de boue marine, qui enferment les curistes dans un cocon fleurant bon l’iode, permettent d’absorber au maximum les fameux oligo-éléments si bénéfiques à notre bien-être. Un peu moins courants, les massages sous affusion s’effectuent à deux ou quatre mains. Ils associent les bienfaits de la manipulation du corps aux vertus défatigantes de la pluie d’eau de mer. Très tonique, la douche au jet, qui cible certaines zones à des pressions et à des températures variables, n’a pas son pareil pour redynamiser le système nerveux et attaquer la cellulite. Des soins pratiqués à sec peuvent s’ajouter à ce programme marin : drainage lymphatique pour aider à l’élimination des toxines, shiatsu, réflexologie plantaire. Le plus souvent, les centres disposent aussi d’infrastructures telles que sauna ou hammam pour parfaire la relaxation. A consommer sans modération avant de s’installer dans la salle de repos, toujours prévue avec de larges baies vitrées, pour profiter de la vue qu’offrent ces balcons de santé sur la mer.

Choisir son centre de thalasso

Etablissements de petite capacité ou centres aux vastes infrastructures accueillant jusqu’à 300 curistes par jour, soins de beauté prévus ou non, sites relativement isolés ou à deux pas des lieux d’animation… Votre cure de thalasso ne sera pas la même selon que vous vous rendez à Tabarka ou à Hammamet. De manière générale, privilégiez les établissements installés sur la côte nord si vous recherchez la quiétude et ceux sur la côte est si vous ne souhaitez pas faire l’impasse sur une ambiance festive le soir. Dans tous les cas, assurez-vous que le centre de thalasso est intégré à l’hôtel et qu’il se trouve en bord de mer pour profiter de votre séjour santé dans des conditions optimales.

mercredi 5 décembre 2012

Dar Bach Hamba – Centre Culturel pour la Méditerranée

L’Histoire : Le témoignage de la parenté des cultures méditerranéennes
Les Bach Hamba, dignitaires militaires d’origine turque, ont donné leur nom à la demeure qui a été la leur jusqu’en 1923. A cette date, les sœurs franciscaines l’acquièrent pour le compte d’une fondation qui a pour objectif ‘de secourir et d’éduquer la population indigène’.

L’institution caritative n’a plus cours et la demeure se trouve une vocation culturelle. Depuis l’an 2000, la Fondation Orestiadi, dont le siège est en Sicile, installe au Dar Bach Hamba le Centre Culturel pour la Méditerranée. Le musée offre un bel échantillonnage de céramiques, poteries, tissages, costumes et atteste de l’étonnante parenté des cultures méditerranéennes. Des expositions, des concerts de musique, des conférences attirent les amateurs de toutes parts, sans laisser pour compte les habitants du quartier.

La driba (premier vestibule) est habituellement suivie d’une ou plusieurs skifas disposées en chicane, pour isoler la cour de la rue. Ici, la driba donne accès à un espace à ciel ouvert, le rwa, pour desservir les écuries de l’intérieur et permettre aux propriétaires d’y pénétrer en voiture ou à cheval. Aujourd’hui, la verdure rehausse la beauté de la pierre.

Le makhzen, après avoir abrité les écuries et/ou les magasins à provisions de la famille Bach Hamba, a reçu des fonctions plus nobles et propices à la méditation et à la réflexion. Après avoir été aménagé en chapelle par les sœurs, il est aujourd’hui une salle polyvalente pour les activités culturelles de la Fondation Orestiadi.

mardi 4 décembre 2012

Maisons et hôtels de charme

Maison d´hôtes, gites et hôtels de charme de Tunisie

Les maisons blanches, les volets bleus et, en haut d´une volet de marches, le mythique « Café des Nattes » et son désormais célèbre thé à la menthe avec des pignons... Aucun doute possible, le voyageur vient de faire escale à Sidi Bou Said. Une échappée turquoise entre deux bâtisses laisse deviner que la Méditerranée n´est pas loin. L´endroit est idéal pour faire une pause. Pour un week-end ou une semaine, ce petit village est le gage d´un dépaysement garanti et d´une rencontre avec une Tunisie authentique, amicale et douce. Ouverte en 2001, la résidence Dar Said est une ancienne maison de famille bourgeoise du 19ème siècle restaurée et transformée en hôtel de charme est située au cœur du village. Son architecture traditionnelle, ses petits patios fleuris et ses fontaines, ses chambres joliment décorées dans le style de l´époque, sa vue imprenable sur la mer en font un lieu d´hébergement original et intime.

DAR SAÏD (Sidi Bou Saïd)

Hôtel de Charme Dar Said, Sidi Bou Saïd
Rue Toumi - 2026 Sidi Bou Saïd
Tél : 00.216.71.740.471 / 00.216.71.740.215 / 00.216.71.729.666
E-mail : darzarrouk@gnet.tn
Site Web : www.darsaid.com.tn

Une grande demeure raffinée transformée en hôtel de charme, dans un emplacement d´exception au coeur du célèbre village de Sidi Bou Saïd près de Tunis. Déjà exploité voici plusieurs décennies, cet hôtel récemment rénové a retrouvé sa splendeur d´antan et obtenu le classement en 4 étoiles, il offre 24 chambres et suites confortables et délicatement décorées dans des tons pastel, ainsi qu´un hammam et une piscine d´où l´on jouit d´une vue splendide sur le Golfe de Tunis; L´hôtel dispose d´un restaurant tunisien réputé avec entrée indépendante, situé en contre-bas le Dar Zarrouk.

DAR FATMA (Sidi Bou Saïd)

Maître des lieux : Amel Marguier
1 Rue Sidi Bou Taraa - 2026 SI BOU SAID
Tél : 00.216.71 981.284
Fax : 00.216.71.246.888
E-mail : info@darfatma.com
Site Web : www.darfatma.com.tn
VILLA DIDON (Carthage)
Rue Mendès France - 2016 Carthage-Byrsa
Tél : 00.216.71.733.433
Fax : 00.216.71.733.488
E-mail : villadidon@villadidon.com

L´antiquité a donné rendez-vous à la modernité dans un lieu unique, magique et authentique : la Villa Didon de Carthage...Mitoyenne des ruines et du musée de la Carthage antique et embrassant les Ports Puniques où débarqua la fugitive Elyssa, la Villa Didon domine la méditerranée avec pour fond, la colline de Sidi Bou Saïd... Un espace totalement ouvert, révélé à la beauté et à la grandeur de Carthage où la légende de la Reine Didon revit dans les détails raffinés d´une décoration épurée, transparente et d´une intense luminosité...
Un nouveau spa est à découvrir.

DAR SONIA (Tunis)

17 Rue le Narcisse - 2070 LA MARSA - Tunis
Tél : 00.216.71.25.930.936
DAR EL MEDINA (Tunis)
64 Rue Sidi Ben Arous - MEDINA - Tunis
Tél : 00.216.71.563.022
Fax : 00.216.71.563.520
E-mail : darelmedina@hexabyte.tn
Site Web : www.darelmedina.com

DAR MRABET (Tunis)

60 Rue Sidi Ben Arous - MEDINA - Tunis
Tél : 00.216.71.241.625
Fax : 00.216.71.256.016

TUNISIA PALACE GODLEN YASMINE (Tunis)

13, av de France- Tunis
Tél : 00.216.71.242.700
Fax : 00.216.71.242.555
E-mail : tunisiapalace@goldenyasmine.com
Site Web : www.goldenyasmine.com
DAR SABRI (Nabeul)
Maître des lieux : Sabri Oueslati
Médina de Nabeul - NABEUL
Capacité : 10
Tél : 00.216.23.949.327 /   +32 475 34 31 38
E-mail : info@dar-sabri.com
Site Web : www.dar-sabri.be

DAR HAYET (Hammamet)

Rue Akaba - La Corniche - 8050 Hammamet
Tél : 00.216.72.283.399
Fax : 00.216.72.283.399
Site Web :www.darhayet.com

Implanté en plein coeur du village touristique le plus prisé de Tunisie, Dar Hayet offre le double avantage d´être à proximité du centre de Hammamet et au bord de sa très belle plage. Dar Hayet est aussi un excellent point de départ pour la découverte d´une Tunisie unique, typique et passionnante.

LA KASBAH (Kairouan)

Avenue Ibn El Jazzar - Cité de la Mosquée - 3100 KAIROUAN
Tél : 00.216.77.237.301 Fax : 00.216.77.237.302
E-mail : kasbah.kairouan@gnet.tn
Site Web : www.goldenyasmin.com

Hôtel aménagé dans les murs d´un bâtiment historique, l´ancienne Kasbah (citadelle) de la superbe médina de Kairouan.
Offrant des prestations classiques, cet hôtel de catégorie cinq étoiles est exceptionnel par sa situation au coeur de la ville sainte, par son architecture et par sa décoration tirée du patrimoine ancien de sa ville. Les 97 chambres et suites richement décorées contrastent avec la sobriété du restaurant et du café maure, où domine la splendeur des vieilles voûtes de pierre.
Piscine, hammam, salles de réunion ; soirées de musique arabo-andalouse.

DAR SIDI (Madhia)

Route de la Corniche - Rejich - Mahdia
Tél : 00.216.73.687.001/002
Fax : 00.216.73.687.003
Site Web : www.darsidi.com

Résidence de charme accueillante et conviviale, réalisée à partir d´une résidence de bord de mer traditionnelle, non loin de Mahdia.
Située au bord d´une plage privée, la résidence compte 10 bungalows pour une ou deux personnes et rappelle l´ambiance d´une grande maison de vacances familiales. Les chambres, décorées de couleurs gaies, combinent avec fantaisie divers éléments des mobiliers traditionnels.
Une piscine, un restaurant table d´hôte.

DAR DHIAFA (Djerba)

Erriadh - Djerba
Tél : 00.216.75.671.166/167/168/169
Fax : 00.216.75.670.793
E-mail : dar.dhiafa@gnet.tn
Site Web : www.hoteldardhiafa.com

Un petit hôtel de charme de style pur et dépouillé, formé de la réunion de plusieurs maisons anciennes du village d´Erriadh au coeur de Djerba.
L´hôtel compte 14 chambres et suites. Sa décoration est traditionnelle, revue dans le goût contemporain : lignes sobres et épurées, couleurs chaudes...
L´hôtel offre deux petites piscines, un hammam, un restaurant.
"Dar Dhiafa" signifie littéralement "maison d´hôtes" : c´est le nom donné à la partie de la maison traditionnelle destinée à héberger les invités.
La ville d´Erriadh est célèbre pour abriter l´antique synagogue de la Ghriba et son pélerinage annuel.

DAR BIBINE (Djerba)

Maître des lieux : Isabelle Planchon
7 rue Abdel Wahab - Erriadh- Djerba
Capacité : 8
Tél : 00.216.75.671.196
Fax : 00.216.75.671.196
E-mail : iplanchon@hotmail.com
Site Web : www.darbibine.com

RESIDENCE SULTANA (Zarzis)

BP 111 , 4170 zarzis
Tél : 00.216.75.705.115
Fax : 00.216.75.705.167
E-mail : dar.dhiafa@gnet.tn
Site Web : www.residence-sultana.com

DAR TOZRIA (Tozeur)

Au coeur de la palmeraie géante de Tozeur, aux portes du désert, une grande maison de style saharien offrant paix et sérénité à des hôtes choisis.Cette résidence privée, dotée d´un patio, d´un grand part et d´une piscine, peut accueillir jusqu´à neuf personnes.
DAR EL JELD (Tunis)
5-10 Rue Dar El Jeld - La Kasbah - Tunis
Tél : 00.216.71.560.916
Fax : 00.216.71.567.845
E-mail : darelmedina@hexabyte.tn
Site Web : www.dareljeld.tourism.tn

Restaurant gastronomique réputé, aménagé dans le patio et les salons d´une grande maison bourgeoise de la médina de Tunis, dans le quartier de la Kasbah et des ministères.
On y sert de grands classiques de la cuisine tunisienne comme le couscous au mérou, la markat haloua (ragoût sucré-salé), le tagine gouta (entremets aux oeufs et au fromage frais)...
L´ameublement et la décoration reflètent le bon goût citadin de Tunis.

ESSARAYA (Tunis)

6 Rue Ben Mahmoud -Bab Mnara - Tunis
Tél : 00.216.71.560.310/563.091
Fax : 00.216.71.571.465
E-mail : essarya@planet.tn
Site Web: www.essaraya.com

Restaurant gastronomique tunisien dans une demeure ancienne décorée comme un luxueux palais. Au sein de la Médina de Tunis, dans le quartier des orfèvres, cet établissment offre également une salle de réunion et une exposition d´artisanat de l´argent.
DAR BEL HADJ
17 Rue des Tamis - La Médina - 1008 Tunis
Tél : 00.216.71.336.910
Fax : 00.216.71.339.549

Un autre beau restaurant aménagé dans un ancien "Dar" de la Médina de Tunis.

DIWAN DAL EL JELD (Tunis)

5-10 Rue Dar El Jeld - La Kasbah - Tunis
Tél : 00.216.71.560.916
Fax : 00.216.71.567.845
E-mail : darelmedina@hexabyte.tn
Site Web : www.dareljeld.tourism.tn

Dans la Médina de Tunis, une maison ancienne aménagée pour l´organisation de cocktails, d´évènements ou de banques dans un cadre intime typiquement tunisois. Meubles, objets du patrimoine sont exposés en situation. Une salle est spécialement prévue pour les banquets ; les menus sont préparés par le restaurant Dar El Jeld.

DAR SEBASTIAN (Hammamet)

Centre Culturel International
Avenue des Nations-Unies - 8050 Hammamet
Tél : 00.216.72.280.030
Fax : 00.216.72.280.722

Cette magnifique maison a été construite à Hammamet en 1927 dans l´esprit de la tradition populaire tunisienne revisitée par un riche amateur d´art roumain. Avec ses lignes pures, sa géométrie en blanc et noir et son jardin de plantes exotiques, la maison de Georges Sebastian a inspiré de nombreuses maisons modernes de Hammamet. Elle se visite et accueille des réunions et évènements divers.
ESPACE KEN (Hammamet)
Route de Sousse - Bouficha
Tél : 00.216.73.252.110
Fax : 00.216.73.252.112

Avec ses pavillons reconstituant l´ambiance d´un village traditionnel, l´espace Kèn est à la fois village d´artisans, centre d´exposition et site original pour des évènements ou l´hébergement de groupes. Situé à Bouficha, à 20 km de Hammamet, il possède un restaurant, un espace piscine-barbecue, une salle de réunion.

LA CHAMBRE BLEUE, Médina de Tunis

Maîtres des lieux : Sondos Belhassen & Marouane Ben Miled
24 rue du Divan 1059 Tunis
Tél : 00.216.22.579.602 / 00.216.21.175.278
E-mail : contact@lachambrebleue.net
Site Web : www.lachambrebleue.net

DAR ZARGOUNI (Nefta)

Nom de la demeure : Dar Zargouni
Maître des lieux : Hédi - Dar Zargouni met à disposition de ses hôtes son personnel : maître d’hôtes, chef cuisinier, femme de chambre et jardinier veillent au moindre détail et s’assurent que les hôtes passent un séjour mémorable
Route Sahara Palace - 2240 Nefta
Tél : 00.216.71.908.048 / 00.216.98.621.920
Fax : 00.216.71.951.085
E-mail : info@darzargouni.com
Site Web : www.darzargouni.com

DAR CHENOUFI (Le Kef)

Maîtres des lieux : Raoudha Chennoufi
Semmana - 7117 Le Kef
Tél : 00.216.21.521.291
Fax : 00.216.71.320.682
E-mail : darchennoufi@gmail.com
Site Web : www.dar-chennoufi.com

DAR OM EL KHEIR (Nabeul)

Maîtres des lieux : Mouna Ameur
4, rue des Parfums - 8000 Nabeul
E-mail : mounameur@hotmail.fr
Site Web : www.daromelkhair.net

AMPHORA MENZEL (Djerba)

Maîtres des lieux : M. Tarek Missaoui
Amphora Menzel - Midoun, Djerba
Tél : 00.216.98.616.514 / 00.216.75.731.209
E-mail : amphora2001@wanadoo.fr
Site Web : www.amphoramenzel.com

DAR MILLE ET UNE NUITS (Djerba)


Maîtres des lieux : Madame Bouraouia-Ouelbeni
route de la mosquée Sidi Mansour Tézdaine Midoun - 4116 Djerba
Tél : 00.216.75.745.167
E-mail : joumana7w@yahoo.fr
Site Web : www.dar-mille-et-une-nuit.com

lundi 3 décembre 2012

la Tourisme balneaire La générosité des rivages de Neptune

la Tourisme balneaire La générosité des rivages

Telle une proue de navire, la Tunisie fend la Méditerranée à l´extrémité nord de l´Afrique. Festonnée de plages au bord desquelles se sont établies des agglomérations dédiées aux vacances, les côtes tunisiennes offrent un cadre sympathique et varié pour se détendre, faire la fête entre amis ou se dépayser.
Forte de ses 1 300 km de côtes, dont 600 de plages, la Tunisie offre un cadre de choix pour des séjours balnéaires. Rien d´étonnant à ce que les hôtels aient fleuri sur son littoral, transformant les anciens villages de pêcheurs en stations à la mode ou créant de vastes complexes de loisirs là où il n´y avait que du sable à perte de vue. De Djerba à Tabarka, le paysage côtier s´est modelé en fonction de l´afflux croissant de touristes.
Actuellement, ce sont plus de 7 millions de vacanciers qui se rendent chaque année en Tunisie, soit l´équivalent de la moitié de la population du pays. Très varié, l´hébergement va de la simple résidence hôtelière au luxueux établissement cinq étoiles, en passant par les clubs et les appartements en time-share. Ce qui permet à chacun de trouver une adresse correspondant à ses desiderata, que l´on soit amateur de sports nautiques, de remise en forme ou de farniente sur la plage.
En fonction de son histoire et de son développement, chaque station balnéaire offre un visage spécifique. A Djerba par exemple, les hôtels s´efforcent de reproduire l´architecture des villages de l´île en privilégiant des structures peu élevées aux formes arrondies. Ce sont les fameux menzels qui, encore il y a peu, constituaient les seuls bâtiments djerbiens. Ces maisons carrées aux toitures voûtées ou en coupole affichent des murs à la blancheur éclatante. Traditionnellement, la seule ouverture de ces demeures est constituée par la porte, mais on trouve aussi quelquefois d´étroites fenêtres protégées par des grilles. Bien sûr, les hôtels ont adapté cette architecture un peu austère aux souhaits des vacanciers : larges baies vitrées, balcons ou terrasses donnant le plus souvent sur des îlots de verdure. Et les établissements dits de première position se situent les pieds dans l´eau, au bord de plages soigneusement entretenues.

Tabarka, bastion de la tradition maritime

A Tabarka, les hôtels restent clairsemés pour l´instant et les longues plages ont encore une allure indomptée qui ravira les amoureux de nature. Autre attrait de la station : son très beau golf 18 trous qui surplombe la mer. Une gageure sportive qui mêle terrain boisé, étangs et falaises plongeant dans la Méditerranée. Mais la valeur ajoutée de Tabarka est sans conteste son festival qui transforme la petite ville en un lieu de rencontres particulièrement conviviales.

Bizerte, la pointe du continent africain

Bien que les criques de sable ne soient pas larges à cet endroit, les Bizertins adorent s´y retrouver pour faire trempette et grignoter des grillades. Rejoindre Tabarka, à 150 km à l´ouest, constitue un voyage en soi, tant le cadre est varié et inattendu. La route longe d´abord des champs de fèves, des vignes, des pâturages et des fermes basses qui rappellent à s´y méprendre la Toscane. Elle approche ensuite les rives du lac Ichkeul, réserve naturelle classée au patrimoine mondial par l´Unesco pour son rôle de relais dans la migration de nombre d´espèces d´oiseaux. On peut y observer canards, oies ou flamants roses. Quant aux cigognes, même si elles apprécient ce havre de 12 000 hectares, elles raffolent aussi du village de Sejnane. Les anciens wagons miniers de la gare désaffectée leur servent de base pour construire leur nid. Et comme rien n´a bougé depuis la cessation des activités humaines, le visiteur se voit gratifié d´une vision à la Hitchcock : des cuves rouillées surélevées abritant chacune un couple d´oiseaux aux longs becs. Une véritable HLM animalière !

Tunis, capitale culturelle et méditerranéenne

En remontant vers Tunis, le littoral abrite des stations balnéaires de taille moins importante telles que Gammarth. On y vient pour la qualité des plages : respecter l´environnement est en effet au cœur des préoccupations gouvernementales, comme en témoignent les nombreux boulevards de l´Environnement et les statues de renard aux longues oreilles, mascotte qui incite au tri et au recyclage. Mais la région offre aussi une grande richesse culturelle. Fleuron d´archéologie, Carthage se trouve à quelques kilomètres à peine. Il ne s´agit pas du site le mieux préservé de Tunisie, mais son cadre, sur une colline surplombant la Méditerranée, est photogénique en diable. Les colonnes, frises et chapiteaux qui ont échappé à des siècles de pillage se dressent, isolés, face à la mer qui scintille. Un peu plus loin, le village bleu et blanc de Sidi Bou Saïd dévale les pentes d´un promontoire où poussent orangers, palmiers et bougainvillées.

Sidi Bou Saïd vêtu de bleu et blanc

Sidi Bou Saïd vêtu de bleu et blanc
 Réputé bien au-delà de la Tunisie pour ses pittoresques portes en bois clouté, ce village ne connaît qu´un défaut : sa fréquentation touristique. C´est le site le plus visité du bassin méditerranéen et sa population, qui ne dépasse pas 5 000 habitants l´hiver, peut grimper jusqu´à 150 000 en plein été. Pour continuer à apprécier ce lieu dans le calme, une seule parade : venir le matin avant dix heures. On gravira ainsi tranquillement la rue qui mène au café des Nattes, escale culturelle un peu obligée depuis que des écrivains comme Gide et Montherlant en ont fait leur point de chute dans les années 1920. Les artistes, toutes disciplines confondues, adorent toujours autant Sidi Bou Saïd, ce qui vaut au visiteur la possibilité de découvrir galeries et ateliers en nombre. Moins connue que sa voisine orientale, la côte septentrionale de la Tunisie est à privilégier pour son association de visites, plages et festivals. A une heure au nord de Tunis, Bizerte mérite un arrêt pour son vieux quartier réaménagé. Les maisons aux façades blondes se reflètent dans l´eau tranquille du port où se balancent des barques peintes de bandes de couleurs vives. Aux environs de Bizerte, il existe une curiosité géographique : le cap Blanc. C´est la pointe la plus au nord du continent africain. Formée de collines blanchâtres s´enfonçant dans la mer, elle compose un paysage désolé hors saison et bourdonnant de monde dès que les beaux jours reviennent.

Hammamet et Nabeul dans la fièvre balnéaire

Hammamet et Nabeul dans la fièvre balnéaire
 A Hammamet, ainsi qu´à Nabeul qui tend à devenir la banlieue de cette dernière, on recense la plus importante concentration hôtelière de la côte tunisienne. Il reste que la station offre des possibilités de loisirs à la diversité sans équivalent dans un tel périmètre. Hammamet compte en effet une marina, deux golfs, et surtout deux médinas. La première historique, blottie à l´abri du fort, au pied du petit port de pêche ; la seconde, à la fois moderne et traditionnelle, nouvellement implantée dans la zone hôtelière de Yasmine, au sud de la ville. Ce complexe, unique en Tunisie est entouré de remparts de 1 km de long. Réplique d´une cité du passé augmentée d´équipements de loisirs dernier cri, la Médina Yasmine Hammamet est pourvue d´appartements en time-share, de restaurants, de cafés, d´une discothèque, d´un hammam et surtout d´un souk offrant échoppes et ateliers traditionnels. Juste à l´extérieur, un parc d´attractions Carthago Land complète ces installations vouées à un séjour orienté détente ou culture. Car le complexe répond aussi au désir de présenter de manière ludique et interactive plus de deux mille ans d´histoire tunisienne. Une "galerie des parcours historiques" retracera notamment le passé du pays à travers maquettes, CD-Roms et scènes de la vie quotidienne reconstituées par des figurants.

Sousse, ville de contrastes

Sousse, ville de contrastes
 De hauts palmiers, des forteresses millénaires et des remparts qui surplombent de longues plages de sable fin : telle se présente la côte du Sahel tunisien. Sousse, ville de constrastes, est à la fois une ville d´histoire et une cité moderne et animée. Sa médina laisse une vive impression, avec ses hauts remparts de pierre dorée face à la mer, ses souks et ses ruelles, ses monuments patinés, par le temps, tandis que les quartiers modernes montrent leur dynamisme avec leurs avenues bordées de palmiers, le port et les nombreux commerces et lieux d´animation.

A proximité de Sousse, la station de Port El Kantaoui porte fièrement son surnom de "premier port-jardin de la Méditerranée". Entièrement construit dans un style tunisien d´inspiration arabo-andalouse, Port El Kantaoui est un ensemble homogène et verdoyant d´hôtels, de résidences, de commerces et de lieux de loisirs, dont le coeur est constitué par un port de plaisance de 340 anneaux et un superbe terrain de golf.

Monastir

A l´extrémité sud du golfe de Hammamet, Monastir est une terre de rêve où la douceur du climat, la pureté du ciel et l´éclat de la mer se conjuguent à l´accueil chaleureux et spontané des habitants pour garantir des vacances à la fois détendues et riches d´expériences et d´émotions.
On sera frappé par la force de l´héritage historique et la permanence tranquille des traditions dans cette ville d´aspect ouvert et moderne, qui vit sous la protection bienveillante de sa forteresse, le Ribat - un des plus impressionnants monuments de Tunisie. On découvrira avec plaisir les campagnes environnantes, un monde joyeux et coloré. Et on se réjouira du confort et de l´animation des hôtels, idéalement conçus pour des vacances en toute tranquilité.

Mahdia

Mahdia

Mahdia, cité au passé glorieux - elle fut la première capitale des califes fatimides au X° siècle -, est bâtie à fleur de rocher sur une mince presqu´île. Elle tire tout sous charme de sa mer couleur de saphir, de ses plages superbes, de sa médina et de son animation de petite ville traditionnelle, ville de pêcheurs et de tisseurs de soie.
Djerba, reine incontestée du littoral tunisien
Forte de sa nature de presqu´île totalisant 125 km de côtes,Djerba caracole en tête des sites tunisiens dédiés au farniente. Son micro-climat, marqué par des hivers plus doux que dans le reste du pays, permet de partir hors saison en bénéficiant d´une météo clémente. On y vient avant tout pour s´allonger sur un transat face à la Méditerranée. Mais les sportifs ne seront pas en reste. La plupart des clubs de vacances proposent en effet une palette variée d´activités comprenant tennis, pétanque, jeux de ballon et sports nautiques tels que voile, planche à voile, jet ski ou parachute ascensionnel. Les familles sont également assurées du meilleur accueil grâce à des appartements triples ou quadruples, des chambres communicantes, des aires de jeux et des clubs pour enfants.

vendredi 30 novembre 2012

Culture La muse de la Méditerranée

La muse de la Méditerranée
Source d’inspiration sans cesse renouvelée, la Tunisie enchante les créateurs venus de divers horizons et s’exprimant à travers des domaines variés.

Belvédère de nature aux villages préservés, elle est l’instigatrice de nombre de manifestations culturelles d’envergure.

On ne compte plus les artistes, peintres, écrivains, réalisateurs, qui font l’éloge de la Tunisie à travers leurs œuvres. Dès l’antiquité, les poètes romains Virgile et Ovide puisent dans l’histoire phénicienne de Carthage pour chanter les amours légendaires de la reine Didon et du guerrier troyen Enée.

La cité punique, si célèbre pour son destin mêlant grandeur et tragique, fascine les écrivains voyageurs du XIXe siècle, et notamment Flaubert, qui s’y rend pour trouver la matière à son roman Salammbô. Dans la première moitié du XXe siècle, la Tunisie s’impose dans les milieux artistiques comme un lieu de vie aussi bien que d’inspiration. Au nord-est du pays, le petit village de Sidi Bou Saïd devient la villégiature de prédilection des grands noms de l’époque : entre autres, André Gide, Colette, Henri de Montherlant, Paul Klee, Wassily Kandinsky. Tous sont unanimes sur la lumière qui émane des paysages, collines aux maisons blanches regardant vers la mer, routes bordant des champs de fèves, longées par des troupeaux de chèvres et de moutons, passages voûtés des médinas s’enfonçant dans une pénombre mystérieuse, levées de terre ocre jonchées de feuilles de palmes au cœur des oasis.

Cette clarté intemporelle continue d’inspirer aujourd’hui nombre de créateurs, amoureux de la Tunisie ou enfants du pays. Les cinéastes connaissent à merveille ses décors naturels qui percent si bien l’écran. Les dunes de sable de La Guerre des étoiles, le canyon du Patient anglais sont tunisiens et ils ont donné lieu à de véritables scènes d’anthologie du 7e art.

Très vivante, la création artistique de cette terre à l’histoire millénaire concerne de nombreux domaines.

Littérature, peinture, musique se côtoient au quotidien dans les lieux culturels des plus grandes villes ou à intervalles réguliers lors de festivals qui rassemblent aussi bien la population locale que les vacanciers.

Reflet d’une tradition sans cesse réinventée, l’artisanat tunisien témoigne non seulement d’un remarquable savoir-faire mais aussi d’un plaisir des belles choses qui illustre l’étonnante alchimie entre un pays et son peuple, nourri d’un amour immodéré pour les couleurs changeantes de la Méditerranée.


mercredi 28 novembre 2012

Nabeul ville touristique tunisie

Nabeul, connue pour ses poteries, ses céramiques et ses orangers est la capitale de la région du cap bon tunisien. Situé à seulement 15 km de la ville de Hammamet, l'une des plus importantes destinations touristiques de la Tunisie. A mi-chemin se trouve la zone touristique de Mrezka. Le déplacement entre ses 3 pôles du tourisme de la région du cap bon se fait par taxi payable à la place ou par bus.
A 2 kilomètres et demi vers le sud (route de Hammamet), vous pourrez découvrir le site archéologique de Néapolis.
nabeul tunisie


En louant une voiture ou un scooter, Nabeul est le point de départ idéal pour faire la découverte des autres villes du cap bon : la magnifique Kelibia, la Mansoura, le site archéologique de Kerkouane, Korba, Menzel Temim, Korbus ...

Nabeul est une ville très animée en saison estivale. Les matinées on peut profiter de la plage, visiter la ville, notamment ses souks riches en produits d'artisanat. Ca sera l'occasion de s'arrêter dans un des restaurants pour goûter à la cuisine tunisienne - forcément différente de ce qu'on vous offre à l'hôtel - à des prix tout à fait accessibles.
tunisie tourisme

La zone du corniche est particulièrement animée la nuit. Les familles locales, ainsi que les touristes s'y rassemblent. Vous y trouverez un grand choix de restaurants et de cafés, même si un grand nombre préfère camper directement sur la plage.

mardi 27 novembre 2012

Douz, Sahara Tunisie

C'est grâce au Festival du Sahara, introduit en 1976 que Douz est sorti de l'oubli - cette délicieuse oasis au sable d'or qui fut le centre de la tribu des sédentaires Mzarig, connaît tous les ans, pendant quelques jours de l'hiver, une remarquable animation touristique avec défilés, courses et luttes de chameaux, danses folklores, théâtre, expositions, fantasias.
Sahara Tunisie



Festival du Sahara


lundi 26 novembre 2012

Matmata, le périple des mystères

Tourisme en tunisie: Matmata
Situé au sud-est du Chott el-Jérid, dans les contreforts du djebel Dahar, à 40 kilomètres au sud-ouest de Gabès, Matmata est le village tunisien plein de mystères et de curiosités, comme un ancien secret berbère, Matmata conserve sa culture et se dote d'une mer de sable infini et un désert sans frontières.

Située à proximité de la porte du désert de sable Douz, Matmata est desservie par sa position géographique et ses habitations troglodytes d’argiles plantées dans les fonds des montagnes du sud tunisien.


Matmata, un conte de curiosité !

Matmata, le périple des mystères

Matmata est le nom d'une tribu berbère qui est elle-même descendante des Temzit Originaire du Maroc, la tribu fonde, près d'une source thermale, la ville de Hamma Matmata, contrainte de la fuir au cours des invasions des Hilaliens, construit l'actuelle Matmata dans les montagnes avoisinantes qui portent le même nom, cela dit, le berbère n'est plus le langage de ses habitants, ce qui est encore le cas dans les villages voisins de Taouejjout, Tamezret, Techine et Zrawa.
Matmata…et surtout ce qui lui entoure !


Planté dans un désert de pierres et de soleil ou la population berbère continue de vivre à l'abri de maisons troglodytiques, Matmata est la ville du sud tunisien la plus visitée des touristes pour le calme qui règne, son climat, sa géographie, ses paysages étranges et ses innombrables excavations trouant le sol des montagnes comme de réels cratères et où les gens de la région vivent sans gène.

jeudi 22 novembre 2012

Tabarka, le triangle du bonheur

Tabarka est une ville côtière du nord-ouest de la Tunisie située à 175 kilomètres de Tunis et à quelques kilomètres de la frontière Algéro-Tunisienne.

Tabarka est probablement un nom berbère qui signifie "pays des bruyères", Thapraca des Phéniciens, plongée dans l'océan, la montagne et les bois est devenue un comptoir romain d'importance grâce à sa situation géographique et son climat méditerranéen.
Tabarka tunisie

Utilisée comme port principal pour l'exportation du marbre polychrome extrait des carrières de la ville voisine de Simitthus, puis, sous la monarchie du roi vandale Genséric, Tabarka est munie de deux monastères, l'un pour les hommes et l’autre pour les femmes.

La ville, est particulière et singulière, elle présente des toits en tuiles rouges, elle est aujourd'hui le noyau de l'une des plus belles zones touristiques du pays.

Tabarka, l’île de bien-être

Une cité touristique des plus modernes, Tabarka avec ses hôtels de grand standing, ses belles résidences, son marina charmant, son parcours de golf est entourée aussi des villages touristiques de renom ce qui rends le choix difficile en allant d'excursion.

Le port de pêche de Tabarka

A un atout de premier ordre pour devenir une grande station touristiques et offre un cadre exceptionnel, montagnes de Kroumirie couvertes de mimosas, eucalyptus, pins et chênes lièges…

mercredi 21 novembre 2012

Sousse la ville touristique Tunisie



Sousse a d'autres atouts : douceur du climat, une côte basse et sablonneuse où abondent las belles plages, proximité de la Tunisie du Nord et de l'aéroport international de Monastir, la richesse de la région en monuments du passé... Ces atouts ont permis à Sousse et à sa région d'ajouter à toutes leurs activités, une nouvelle branche qui a très vite pris un essor considérable : le secteur touristique. La zone est devenue l'un des pôles touristiques les plus importants du pays.
Sousse la ville touristique Tunisie
On trouve ici cent onze hôtels totalisant une quarantaine de milliers de lits. Un tiers environ de cette hôtellerie est constitué d'unités de luxe.

C'est dans cette zone qu'on trouve Port el Kantaoui qui représente, dans l'hôtellerie tunisienne, une innovation de taille. Fondé sur un concept nouveau, il constitue la première station touristique intégrée de Tunisie. Réalisée selon un modèle architectural s'inspirant largement des manières de construire traditionnelles, la station comporte tout ce qu'il faut pour un séjour des plus agréables : golf, marina, toutes sortes de commerces, de nombreux cafés, des restaurants servant une des cuisines les plus raffinées, bureau des postes, poste de police, pharmacie... Toutes les formules d'hébergement sont proposées ; villas de style mauresque, bungalows, appart-hôtels...
Dans la zone, on a accordé un intérêt particulier à l'animation.
Le Festival d'Aoussou donne lieu, chaque année, à un défilé des plus pittoresques. C'est une manifestation grandiose suivie par les touristes et les populations de la région. L'Aqua palace est un centre d'animation qui attire, avec ses piscines et ses équipements de jeux, une foule immense.

Le Hannibal parc est un centre de loisirs très diversifiés. Dans les environ, à Hergla, un carting fonctionne durant toute l'année. Un Jardin de plantes a été créé récemment : on y trouve des plantes et des oiseaux exotiques. Diverses autres manifestations ont été mises sur pied : Disconight, Boujaafar international show... Elles sont beaucoup de succès. Le Festival de l'olivier se tient à Kalaa Kébira.

Les restaurants de toutes catégories sont très nombreux dans toute la zone. Les night-club ne le sont pas moins.
Sousse Tunisie